66 réflexions sur « Commentaires »

  1. Nyima dzong est un lieu paisible dédié à l’éveil;
    l’accueil est toujours chaleureux et les enseignants de qualité;
    souhaitons longue vie à ce lieu et ne nous laissons pas atteindre;
    « la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe »

  2. Dans une famille, les enfants ne ressentent pas toujours les mêmes choses vis à vis de leur vécu avec leurs parents.
    Le passage à la vie adulte est parfois très perturbant, encore plus pour des enfants élevés dans l’éthique du bouddha passant à la société du tout consommable, même l’amour. Avec le temps la vérité fini toujours par ressurgir.

    La manipulation de certains médias mal-intentionnés, c’est autre chose. On fait dire quelque chose à quelqu’un, on utilise une infime partie de ce qu’il dit pour nuire, c’est facile et lâche. Cela boost les ventes du journal, la méchanceté gratuite, le jugement hâtif. Mais cela fini par se retourner à l’envoyeur qui perd toute crédibilité.

    Pourquoi font-ils cela ?
    Parce qu’ils se sentent exister uniquement en détruisant les autres, étant incapables de construire quoi que ce soit par eux-mêmes.
    Le primate de base qui ne pense qu’à lui et à ce qu’il peut prendre aux autres, qui n’a aucune idée de ce que veut dire l’intention et encore moins l’intention juste.
    Le sentier est périlleux pour Nyima Dzong, « la compassion s’élevant comme ennemie ». Bokar R La porte du sens définitif p73.

    Tout l’amour que vous donnez à tout le monde, il ne se compte pas en Euro, c’est cela qu’ils ne comprennent pas, les intolérants qui ne supportent pas qu’on ne vive pas comme eux, car cela remet trop leur mode de vie et de pensée en question.
    Dommage pour eux.
    Ce n’est pas de votre faute, vous qui avez une bonne intention. Ce n’est même plus votre problème, c’est leur problème à eux !

  3. Claudine Albrand
    le relais de saint Géraud
    05140 Aspres sur Buëch (France)

    le 7 janvier 2016

    Je suis allée pour la première fois à NyimaDzong en août 2010 pour rencontrer
    Khenpo Tseten et lui demander de venir enseigner chez moi. Il est l’élève d’un maître très connu.
    C’est important car dans la tradition bouddhiste il y a plusieurs écoles reconnues qui toutes
    remontent au bouddha Shakyamouni. Cette chaine ininterrompue garantie l’authenticité
    des enseignants et de l’enseignement.

    J’ai rencontré dans ce centre bouddhiste plus que ce que je venais chercher : des amis.
    J’admire leur assiduité à l’étude et leur attitude toujours ouverte et bienveillante pour tous et ce
    depuis quarante ans.

    Quand je vais les voir je me ressource.
    Je trouve ce dont un véritable pratiquant bouddhiste a besoin : un temple, un environnement propice à la méditation contemplative et active en partageant avec eux les tâches quotidiennes, un enseignant et un enseignement authentiques.

    Claudine Albrand

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